En 2014, notre Groupe, perdait 200 millions d’euros par mois et mettait en place un plan de survie qui avait obtenu le soutien de la CFTC. Il s’agissait de redresser le Groupe, mais aussi de garantir qu’une telle situation de crise ne se reproduise pas. Cela passait par l’abaissement du point mort, (point à partir duquel PSA équilibre ses comptes et commence à faire des bénéfices), à 2 millions de véhicules. A cette fin, PSA mettait en place la réduction drastique des effectifs (de la masse salariale), et donc du ratio Coûts salariaux/Chiffre d’affaires. Les objectifs affichés ont conduit aux plans de départs volontaires que nous connaissons encore aujourd’hui (DAEC). Lire la suite